vendredi 10 mars 2023

Récit : Chutes du Niagara et Grand Nord

Travail par équipe 

Margaux, Elisa, Sélina, Julie, Jaelyn, Anouchka et Maeva

Les aventures glaciales


1.Après l'expédition en Egypte, je partais aux chutes du Niagara pour célébrer le mariage de Jérôme Bonaparte le 24 décembre 1804. L'empereur me chargea d'assurer sa sécurité, car son frère avait parfois des idées saugrenues et même dangereuses.

Il faisait -50 degrés, ce qui était très rare dans la région. Les chutes étaient d'ailleurs complètement gelées.

Je pris le temps d'admirer les trois cascades : l'Américaine, le Fer à cheval et le Voile de la mariée. Elles étaient gigantesques, leur envergure était de 53 mètres. A mon grand étonnement, elles abritaient des ours polaires qui venaient de l'Alaska.


2.Quelques jours après avoir célébrer son mariage, Jérôme me défia d'escalader les chutes du Niagara gelées au piolet. Si j'y parvenais, il m'offrait un périple en chien de traîneau sur la « trace des ours blancs ».


3 Je m'équipais de chaussures à crampon, d'un piolet, d'un harnais et d'une corde pour m'assurer. La montée était très ardue, les pentes étaient extrêmement abruptes et glissantes. Mais, ma détermination sans faille m'aida à attraper les prises les plus éloignées. Heureusement que j'étais grand ! Lorsque je fus au sommet, j'étais fier ! Jérôme était loin derrière. J'avais gagné le pari.


Jérôme me donna un traîneau pour me déplacer et des chiens pour me tirer. J'appris les différentes façons de disposer les huskys : l'attelage en tandem, simple, double et en éventail. Ils pouvaient parcourir jusqu'à 150 kilomètres par jour. Le plus intelligent était devant car il comprenait bien les ordres de son maître et qu'il était le plus vigilant.


Après plusieurs jours de voyage, je vis des aurores boréales et j'appris l'art de la chasse au lasso. J'y trouvais beaucoup de gibiers tels que les caribous, les bœufs musqués et les rennes.

J'arrivais à la baie Hudson au bout de quatre jours. Ici, le froid était mordant et me transperçait. J'appris la vie de nomade : me déplacer chaque jour et construire mon igloo avec des briques de glace et un toit en peau d'ours pour me protéger du blizzard.


Pendant la nuit, je pensais que ma vie aventureuse s'arrêterait là, mais les faits me détrompèrent. Je me rendis compte que j'aimais cette vie pleine de suspense.



Mais un messager avec une lettre parvint à me trouver malgré la distance. Dans la lettre il me demandait d'aller à Venise pour secourir la population. La peste y sévissait. Elle faisait des ravages.





Aniela, Julia et Nour

LE GRAND NORD


J'étais en Amérique, plus précisément aux chutes du Niagara au Canada. Le temps était glacial, il faisait au moins -50°C. Le paysage était comme pétrifié par la glace. J'admirais ce spectacle immaculé.


Soudain, une famille d'ours affamés surgit. Terrorisé, je m'échappais à l'aide d'un piolet pour escalader les chutes gelées. La montée était vraiment compliquée ! Mais comme c'était beau ! Enfin arrivé, j'admirais les Grands lacs d'une hauteur vertigineuse.


Quelques minutes plus tard, j 'entendais une fanfare au loin. Il se trouvait que c'était Jérôme Bonaparte, frère cadet de Napoléon qui se mariait. Je rejoignais la foule en délire. Quelle idée saugrenue de fêter ses noces dans un endroit si froid !


Je tournai la tête cinq secondes et quand je revins à mes esprits, plus personne... La foule s'était évaporée !


Un homme sorti de nulle part s'approcha de moi. Il partait pour la baie d’Hudson avec ses chiens de traîneau en tandem simple pour traverser la forêt, puis en éventail dans les plaine. Il fallait quatre jours sans répit pour parcourir les 400 km.


Ce lieu était renommé pour la chasse aux fourrures. Je lui demandai gentiment de l'accompagner. Il accepta volontiers, en effet il préférait être accompagné dans ce style d'expédition. Il se trouvait que mon hôte se nommait Eric et qu'il venait souvent chasser dans la baie d'Hudson. Le premier jour, nous avions froid. Il me proposa de creuser un trou dans la neige pour nous protéger du blizzard. Ce n'était vraiment pas de tout repos ! Mais avec les efforts conjugués de nous deux, nous arrivions à nous installer et nous reposer. Une fois dedans, nous sombrions dans un sommeil profond...

Le lendemain, nous nous réveillions en panique. Par malheur, nos chiens s'étaient enfuis pour chercher à manger. Nous criions à l'aide, et dieu merci des Inuits passaient par là. Ils nous aidèrent à les retrouver Nous les remercions. Puis nous partions chasser ensemble.


Je garde un bon souvenir de cette aventure glaciale !





Gabriel A, Maël, Gaspard, Florian

GRAND NORD



1 J’étais aux chutes du Niagara en train de me balader paisiblement, quand j’aperçus Jérôme Bonaparte avec sa fiancée américaine. Ils étaient tous deux emmitouflés de fourrures, car le temps était glacial. Il faisait - 50°C. Les chutes étaient même gelées ! Une occasion à ne pas rater de les escalader !


Je leur expliquais ma mission : retrouver un soldat que son frère avait envoyé dans la baie d’Hudson quelques années auparavant. En effet, cette région était une ancienne colonie française, la Nouvelle France. Je leur passais le bonsoir et partis. J’avais 400 km à faire.


Comme j’avais envie de sueurs froides avant mon départ, j’escaladais la chute du voile de la Mariée pour fêter cet événement.


Arrivé en haut, je rejoignais le responsable des chiens de traîneau. Il me donna consignes de sécurité et je partis pour l'expédition.


2 Les chiens allaient trop vite à mon goût : je craignais qu’ils s’épuisent. Mais, ils étaient bien entraînés et tenaient bon. A la tombée de la nuit, je montais le camp. J’avais déniché un bon endroit, derrière une colline, à l’abri du vent et du regard du troupeau de bœufs musqués que j’avais aperçu non loin de là. Avec un lasso que j’avais emporté, je repérais un animal blessé qui se trouvait à l’arrière du groupe. Je me dis qu’il serait facile à capturer. Je ne m’étais pas trompé. Il se laissa attraper sans trop de résistance. Grâce à mon couteau, je le tuais, le découpais en morceaux, le mettais à cuire, l’assaisonnais, et le repas était enfin prêt ! Les chiens en prirent chacun une grosse part, et moi je pris le reste.


Nous vîmes une aurore boréale. C’était magnifique ! Ils se reposèrent et moi aussi. Les deux jours qui suivirent, il ne se passa rien de palpitant. Jusqu’à ce que le matin du troisième jour, mes chiens flairèrent une personne. Méfiant, je m’approchais. Je vis qu’il était en uniforme. Il n’y en avait pas beaucoup, des comme lui, dans la région ! Tout à coup, je compris que c’était le fameux soldat de Napoléon. Je lui fis le rapport de ma mission. Il comprit. Il m’expliqua qu’il n’était plus sédentaire comme avant, mais nomade. La vie est bien plus facile pour lui, maintenant. Il était libre. Ce nouvel ami, nommé Bob, nous prépara un bon repas, à mes chiens et moi : du renne. Après une bonne nuit de sommeil, nous repartions vers la baie d’Hudson, mais, cette fois-ci, plus pour la mission, mais pour les vacances.





Eythan M, Sacha, Arry et Ethan E


Aventure au chutes du Niagara


J'étais en planeur quand soudain la liane qui soutenait l'aile s'arracha et je me crashai sur une terre gelée, celle des chutes du Niagara ! Il faisait un froid exceptionnellement glacial. Sans faire exprès, je tombais dans un trou profond. Par chance, je réussis à sortir à l'aide d'une paire de mes bottes à crampons et de mes deux piolets.


J'avais tellement peur de mourir dans ce coin perdu que je pensais à ma femme.


Enfin, j'arrivais au sommet et je vis des chiens de traîneau qui m'attendaient pour une nouvelle expédition : chasser au lasso dans la baie de Hudson. Après quelques heures de route, mes chiens étaient épuisés. Ils devaient se reposer et s'alimenter pour reprendre ce périple de 400 km.



Clément, Baptiste, Ethan G, Romain


Double périple au cœur du froid


Après être allé en Egypte, je partais pour les chutes du Niagara pour assister au mariage de Jérôme Bonaparte avec une américaine splendide. A peine posé le pied à terre, le blizzard me transperça.

Je trouvai une habitation où je passais la nuit. Le jour du mariage, j'étais fin près. Je réussis à l'aborder après lui avoir offert un verre. Je lui expliquais la raison de ma venue et lui présentais la lettre de Napoléon. En la lisant, il trouva une face cachée. Il avait l'habitude des farces de son frère. Je repartais avec pour nouvelle mission : chasser dans la baie d'Hudson au lasso. Je mis donc les voiles pour participer au concours de chiens de traîneau. Mes chiens m'impressionnaient. Nous arrivions les premiers. Je regagnais la baie d'Hudson tout fier où je chassais des ours blancs. Je construisais un igloo pour me protéger du froid.


Corentin, Eliott, Gabriel C, Leonard

GRAND NORD



Ainsi, je partais de nouveau vers des terres inconnues.

Une fois arrivé à destination, j’allais découvrir les chutes du Niagara gelées.

Le temps était exceptionnellement glacial.


Je voyais Jérôme Bonaparte et il me défia dans une course de raquettes autour des chutes du Niagara. J’acceptais. Le lendemain, nous partions. Au bout d’un quart heure, je rencontrais un troupeau de bœufs musqués qui me bloquaient le chemin. Je dus attendre qu'ils partent. Que c'était long ! Pour finir, je gagnais la course et je partais pour la Baie d'Hudson en traîneau pour 4 jours de périple.

J'arrivais dans un village d' Inuits. Ils me proposèrent l'hospitalité pour la nuit. Ce fut ma première nuit dans un igloo. Le lendemain, je reprenais ma route, je creusais un trou dans la glace pour pêcher des poissons au harpon. Je partageais ma nourriture avec les Husky. La nuit tombait, il fallait que je m'abrite du blizzard, le vent était mordant !

Je m'endormais en vain, mais je fut réveillé par une source de lumière. Je regardais dehors et c'était une aurore boréale. C'était magnifique. Le jour suivant, des caribous m'attaquèrent. Heureusement, des Inuit qui chassaient entendirent mon cri de terreur. Ils vinrent à mon secours. Puis, je repris ma route pour découvrir les phoques et les narvals de la baie.