conte revisité
Il était une fois Léopold
manque de bol à la recherche d'un métier. Un jour, il rencontra un chapeau
magique qui se transformait la nuit en elfe. Il lui avoua qu' il en avait assez
d'être seul, sans tête !!! Léopold eut une soudaine idée d'être chapelier :
créateur de chapeau. Léopold montra le chapeau aux stars. Il les arrangea à
leur goût. Le jour du défilé, il se passa quelque chose de bizarre. A la tombée
de la nuit, le public entendit un bruit aigu. Tout à coup, les chapeaux se
transformèrent en Elfe et les spots en Gobelins. Oh! Malheur,
c'était la guerre ! Léopold s'enfuyait et disparut à jamais.
Dans l'exile, Léopold quitta le
métier de chapelier pour en choisir un autre. Sur la route pour aller à Allain
Fredon, Léopold tomba sur une pioche abandonnée sur le sentier qui n'arrêtait
pas de se plaindre .
•
Qu'as tu donc,
demanda Léopold ?
•
Je cherche un
propriétaire.
Alors, Léopold pris la pioche
et réalisa son souhait : retourner à la mine. Léopold partit donc à la mine. La
pioche elle sans aucune raison se mit à chanter de l'opéra d'un voix
tremblante. Soudain, ce chant provoqua l'effondrement la grotte. Léopold
réussit tout de même à s’échapper, mais il démissionna.
En rentrant chez lui, il
ramassa une pince qui traînait à terre et la mit dans sa poche. Tout à coup,
elle se mit à parler :
•
Léopold, sois
neurochirurgien. Je sais que tu cherches un nouveau métier.
Léopold commença en tant que
stagiaire. Un jour, le médecin était malade, Léopold dut le remplacer, la pince
rentra toute seule dans le cerveau pendant l'opération, il ne contrôlait plus
rien. Paniqué, il appela le directeur. Il fut renvoyé pour incompétence. Alors
il décida de devenir pilote de moto, car il adorait la vitesse.
Il s’entraînait au circuit «
Motor Spane ». Il pensait faire des compétitions. Il se souvint d'un vieil ami
sorcier qui avait une belle moto volante. Il lui acheta sa moto et il fit sa
première compétition. Grâce à la moto, il finit 2ème. Quel succès ! Lors de sa deuxième course, un motard lui fit
une queue de poisson. Il rata le virage et
perdit le contrôle de la moto. Il fut éjecté de la moto et s'envola dans
un enclos de vaches. Tout le monde se moqua de lui. Vexé, il décida de changer
de métier et de faire un métier plus calme, un qu'il pensait agréable: créateur
de jeux vidéo.
Léopold renonça à la
compétition, mais garda sa moto de luxe pour le plaisir. Il allait se balader
avec, pour survoler les embouteillages. Le soir, il commença à travailler sur
son jeu vidéo. Distrait, il fit tomber son verre d'eau qui court-circuita les
câbles. Une silhouette d'électro-follet apparut et frappa Léopold d'une telle
puissance qu'il s'évanouit...
Quand il se réveilla, il était
prisonnier de son propre jeu. Le seul moyen de sortir du jeu c'était de
surmonter tous les défis ! Au premier niveau, il dut affronter des monstres.
Quelques minutes plus tard, il arriva au niveau 15 où il dut tuer le mini-boss
Pikout, il triompha. Au bout d'une heure de jeu, il combattit un vrai boss du
nom de Firedelphine. Au niveau 50, il affronta l'électro-follet, mais celui-ci
avait décuplé sa taille. Comme il avait économisé tous ses pouvoirs, Léopold
lui lança une rafale de pouvoirs divers, ainsi le boss fût détruit. Soudain,
Léopold eut l'impression de se réveiller d'un grand rêve, mais il était là, sur
son siège.
Pour
se remettre de toutes ses émotions virtuelles, Léopold manque de bol décida
d'aller prendre l'air en devenant steward. Léopold n'était encore jamais rentré
dans un avion. Il accueilla les passagers puis fit l'annonce. Par la suite,
Léopold alla vers la cuisine pour préparer les repas. Soudain, il vit une
plante géante qui atteignait les nuages. Quelques minutes plus tard, l'avion fut coincé dans
cette plante gigantesque. Léopold décida donc de faire évacuer les passagers et
c'est seulement en se retrouvant dehors que Léoplold réalisa que cette plante
était un haricot magique ! Léopold chercha donc une solution. Et il eut l'idée
d'utiliser la tige comme toboggan. En se retrouvant sur cette île paradisiaque,
Léopold décida donc d'y rester jusqu'à la fin de ses jours.