SOS parents
Le vendredi 9 juin
de 8h30 à 15h
Visite contée de 1h30
pique-nique
prévoir 2 gouters
SOS parents
Le vendredi 9 juin
de 8h30 à 15h
Visite contée de 1h30
pique-nique
prévoir 2 gouters
J´ai fait une demande pour une sortie familiale le mercredi 7 juin vers 14h
La Villette
Expo Ramsès
nombre de places 28
prix par personne 5€
Rendez vous sur place
J´attends la confirmation de la réservation
DIALOGUE EGYPTE Margaux, Gaspard, Julie, Eliott, Ethan G et Elisa
le Thé
Narrateur : Polichinelle quittait Gênes pour Alexandrie à bord d'un vaisseau, prénommé Le Héros. Il faisait parti de l'armada de Napoléon. Cette flotte était impressionnante. De nombreux scientifiques participaient à l'expédition.
En arrivant sur le port d'Alexandrie, il vit des cavaliers, nommés mamelouks, des mercenaires turcs qui soutenaient l'armée égyptienne face aux colons anglais et français. Certains guerriers maîtrisaient plusieurs langues et servaient de traducteur.
Polichinelle : Bonjour, est-ce ici que l’on peut trouver le chef Mamelouk ?
Chef Mamelouk : Ztjh yzg qvbu lgfbh euky.
Les guerriers : Oui, que veux-tu, étranger ?
Polichinelle : Je désire devenir ton ami.
Chef Mamelouk : iuhkqhg qkgghqim ughm yhqemiuhy
Les guerriers : En échange de quoi ?
Polichinelle : J'ai beaucoup d'argent.
Chef Mamelouk: fhvpm fvv dx x fdqstf tydy
Les guerriers : L'argent ne l'intéresse pas.
Polichinelle : J'ai une information
Chef Mamelouk : Nfdghjllkjhjn seskrp ijtoacfghj ct.
Les guerriers : Nous écoutons.
Polichinelle : Les Anglais ont la pierre de Rosette.
Chef Mamelouk: Judg gdg xub dggf deu
les guerriers : Soyons amis.
Polichinelle : J'ai un plan. Introduisons du somnifère dans le thé des Anglais.
Chef Mamelouk : hd egex gyge zbug
les guerriers : Avez-vous un espion ?
Polichinelle : Bien sur ! Les Anglais lui font confiance.
Chef Mamelouk : vjvuhcezy gzeqàcai gb
les guerriers : Nous avons une réserve de somnifère.
Narrateur : Ils contactèrent l'espion français. Ils se dirigèrent ensuite vers les quais et préparèrent le thé, sans oublier le somnifère. L'espion monta avec son breuvage sur le bateau anglais.
Espion (aux anglais) : Voici votre thé.
les anglais : Merci, son goût est étrange...
Espion (aux anglais) : Il est d'une autre provenance, avec une texture plus onctueuse... Il vient de l'Empire du Milieu.
Narrateur :les anglais s'assoupirent un à un...
Pendant la nuit, une fois tous les soldats endormis, Polichinelle dut faire un effort colossal pour harnacher et emmener la pierre de Rosette sur sa montgolfière. Pendant ce temps, ses nouveaux amis, les Mamelouks remplaçaient la stèle par une pierre factice. Quelques gardes commençaient à remuer, ils durent faire vite.
Chef Mamelouk : mjrlhbe sfdjrtè zghgbfjtiohgk jhyeblmt .
guerriers : Nous avons trouvé une solution pour remplacer la fameuse Pierre de Rosette.
Polichinelle : Oui, mais comment remplacer la vraie pierre par la factice.
Chef Mamelouk : qwzsex drcftv gybhuj ikolpm kljhtl.
guerriers : Nous avons la solution à ton problème.
Polichinelle : Et laquelle ?
guerriers : Nous pensons que la montgolfière est la meilleure solution pour transporter la stèle dans la Vallée du Nil, à Gizeh.
Polichinelle : Allons-y ! Pendant ce temps, les Mamelouks mettront la pierre factice.
Guerriers : Si tu veux nous te guideront à cheval. Nous connaissons une cachette accessible par un orifice seulement vue du ciel.
Polichinelle : Ne perdons pas de temps !
Narrateur : Une fois tout les préparatifs terminés, les cavaliers hissèrent la stèle dans la montgolfière. Puis, ils conduisirent Polichinelle à travers le désert jusqu'à la pyramide de Gizeh.
La mission était accomplie. Polichinelle pouvait alors profiter de la vue magnifique qui s'offrait à ses yeux : une allée de Sphinx grandiose au milieu des pyramides.
Peu après, il rentrait chez lui.
Quelques semaines plus tard, il lut dans un journal anglais « The Guardian » que sa supercherie avait été dévoilée.
Aventure en Amazonie
Gabriel A, Sacha, Clément et Gaspard
Dialogue avec Tarzan
Louis XVI avait promis à Polichinelle un dirigeable pour le voyage, mais il n’arriva pas à destination. Il demanda alors à la société Mamazon de lui en envoyer un. En effet, les dirigeables n’existaient pas à cette époque. Mamazon a toujours été un précurseur ! Il souhaitait tester leur nouvel engin un siècle avant les autres !
Polichinelle accepta donc un engin publicitaire. Il lui en fallait un coûte que coûte.
Il découvrait cette forêt immense vue du ciel. Elle était splendide de là-haut.… Mais, brusquement, le temps changea et il se retrouva en pleine tempête. Les éclairs et la pluie l’aveuglaient. Soudain, la foudre le frappa et le dirigeable explosa !
Par chance, il atterrit sur des nénuphars géants dans une zone marécageuse. Il voulut nager pour rejoindre la rive, quand soudain des piranhas commencèrent à l’attaquer. Il était coincé. Comme par miracle, un homme surgit des arbres gigantesques, il l’attrapa en sautant d’une liane pour le transporter jusqu'à la rive voisine.
Polichinelle : A l’aide ! Que se passe-t-il ?
Tarzan : Ne vous inquiétez pas, je m’appelle Tarzan. Je viens vous secourir. Louis XVI m’a prévenu de votre arrivée.
Polichinelle : Ah, je suis rassuré de votre présence, car cette forêt m’a l’air vraiment inhospitalière.
Tarzan : Je m’y suis habitué, et maintenant j’adore cet endroit.
Polichinelle : Vous vous êtes vraiment adapté à cette forêt vierge ?
Tarzan : Oui, elle fait partie de ma vie. Et vous, vous avez une mission, je suppose...
Polichinelle : C’est exact, d’ailleurs vous allez me la donner ?
Tarzan : Bien sûr, la voici.
Polichinelle la prit et la lut à haute voix :
Polichinelle : Polichinelle, je vous confie une mission qui consiste à aller en Amazonie pour me ramener le Ara aux œufs d’or. Je compte sur vous !
De la part de LOUIS XVI, votre Sir.
Versailles le 17 juillet 1788.
Ensuite, il lui proposa de l’accompagner dans la suite de son expédition.
Arrivés dans l’épaisse forêt, ils virent un léopard aux aguets. Il était affamé et avait bien envie d’un toucan en déjeuner ! Par prudence, Tarzan lui conseilla de quitter rapidement les lieux. Il lui fit visiter un village de son royaume. Ils y entraient et il virent des amérindiens en plein combat de tributs. Les femmes s'affrontaient aux hommes avec bravoure. Il lui proposa d’y participer. Il refusait, il détestait se battre. Il lui révéla, parce qu’il avait confiance en lui, un secret que lui seul connaissait : le bois amazonien pouvait flotter !
Il lui présenta le plan de la barque volante, celle de Léonard de Vinci.
Polichinelle : Qu’ils sont fameux tes plans !
Tarzan : Oui, très ingénieux. J’y réfléchis depuis que je suis ici… Quatre ans déjà…
Ils construire ensemble le planeur. Quand il fut terminée...
Polichinelle : Où m’emmènes-tu ?
Tarzan : Sur la plate-forme de décollage dans la canopée. Mes amis amérindiens l’ont construite pour se défendre des colons. C’était leur cachette. Ils leur tiraient dessus avec des flèches au curare en étant bien cachés dans l'épais feuillage.
Ils hissèrent l’engin tout en haut à l’aide d’une poulie, s'installèrent et prirent leur envol.
Tarzan : Regarde, nous prenons de l’altitude. Nous allons essayer de surfer sur la rivière volante. C’est un courant très puissant de vapeur d’eau qui remonte le long de l'Amazone.
Polichinelle : Et là, nous surplombons le confluent, celui du Rio de Negro et de Solimoes.
Tarzan: Oui, ici les eaux noires et les eaux boueuses se mélangent… Le courant très puissant est donc dangereux. Impossible de nous poser sur le fleuve. Il faut essayer de perdre de l’altitude pour atterrir sur un plan d’eau plus calme…
Polichinelle : Et quand pourrons-nous atterrir ? Je ne crois pas qu’il n’y en ait avant très longtemps.
Tarzan : Je connais un petit bras d’eau où c’est très calme. En plus, ce n’est pas très loin.
Polichinelle : Oui, je le vois !
Tarzan : Atterrissons !
Polichinelle : Let’ s go !
Arrivés dans une clairière, des arbres gigantesques, des fromagers, étaient tombés suite à une tornade. Ces colosses aux pieds d'argile étaient tombés comme un jeu de domino. Ils gisaient au sol.
Ils observaient tout autour d'eux les oiseaux pour essayer de trouver le fameux Ara aux œufs d’or. Il entendit Coco parler.
Coco : Coco, coco, je suis le plus beau... Viens vite prendre le thé dans la canopée...
Coco, coco,.... à la17ème branche du 51ème arbre de l’allée du fromager
Coco, coco …. pour m’accompagner ...
Polichinelle : J'accours. Veux-tu être le compagnon de mon roi, Louis XVI ?
Coco : Coco, coco, est un fan de Louis XVI et aimant les régimes de faveur, j'accepte.
Coco, coco, est le plus heureux des aras d'Amazonie.
Le Ara aux œufs d’or, a pu être remis au roi , juste avant la révolution française.
D'ailleurs, Louis XVI ne quittait jamais son animal de compagnie. Il avait même fait installer une cage en or massif dans son carrosse. Quand il a cherché à quitter Versailles pour rejoindre Varennes le 21 juin 1791, son ara chéri était encore avec lui…
La fuite Corentin, Romain et Baptiste
Pantalon passa par le pont des soupirs, salua une dernière fois ses amis puis se fit emprisonner dans la même cellule que Polichinelle.
Les deux prisonniers sympathisaient et racontaient leurs mésaventures. Polichinelle avait été aussi victime d'une méprise. Cet explorateur italien était très embarrassé, car il devait le lendemain partir en galère pour l'Egypte rejoindre Champollion. Tous les deux, passionnés de langues orientales, allaient essayer de percer le mystère des pyramides en décryptant les hiéroglyphes.
Polichinelle : Bonjour, je m'appelle Polichinelle. Et vous ?
Pantalon : Je me nomme Pantalon. Comment êtes-vous arrivés là ?
Polichinelle : Un explorateur voulait m'empêcher de partir pour la campagne Égypte de Napoléon par jalousie. Alors, ce concurrent me dénonça dans les Bocche di Leone. Ce vaurien partit à ma place. J'étais à la fois désespéré et furieux. Et vous comment êtes-vous arrivé là ?
Pantalon : Le médecin de la peste m'a dénoncé pour couvrir son crime.
Polichinelle : Quelle injustice !!!
Pantalon : Faisons équipe ! As-tu une solution pour s'échapper d'ici ?
Polichinelle : Depuis que je moisis dans cette cellule, j'ai eu le temps de réfléchir...
Nous sommes dans le Piombi, l'ancienne cellule du célèbre Casanova. Viens m'aider à soulever les plaques de plomb du toit ! Seul, c'est impossible.
La force d'un seul homme n'était pas suffisante, mais grâce aux efforts conjugués des deux compères, ils parvinrent à les soulever. Et ces derniers en profitèrent pour s'enfuir dans la nuit de pleine lune.
Ils passèrent par le Grand Canal pour regagner la galère au port de l'Arsenal.
Ils s'installèrent tous les deux sur le pont, en partageant un bon repas. Puis enfin repus, Pantalon l'interrogea sur son passé d'explorateur...
Il lui raconta ses meilleurs souvenirs en Egypte, à Tahiti, en Amazonie, dans les chutes du Niagara et enfin dans le Grand Nord...
SOS Parents
Sortie à l'aquarium tropical
de la porte Dorée
le vendredi 16 juin
8h30- 15h
Marche dans le bois de Vincennes
9h Traversée de l'arborétum
10h15 goûter
10h45 visite de l'aquarium
12h30 pique-nique
Marche
15h Goûter
Travail avec Nicolas Trussardi
Les textes évolueront à chaque atelier du lundi.
A Travailler
(Il faudra au préalable une scène d’exposition)
Venise la Rouge
(Venise Scène 1)
Inspirée de l’expression écrite des CM2.
NARRATEUR#1 : Cette Histoire débute en 1828.
NARRATEUR#2 : En plein, Carnaval de Venise.
UN GROUPE DE CARNAVALIERS ENTRE ET SE SALUENT.
ILS EFFECTUENT LA DANSE DES FAMILLES.
NARRATEUR #3: La Fête battait son plein...
NARRATEUR #4: Quand un drame survînt.
Entre le messager qui se dirige vers le Médecin.
MESSAGER : Monsieur une missive à votre nom !
Le docteur s’en saisi et paie le messager qui sort ensuite.
DANSEUSE#1 : Sûrement une lettre d’une admiratrice ?!
DANSEUSE#2 : Son nom même fait trembler la Peste dit-on !
DANSEUSE#3 : Il accomplit de tel miracle !
DANSEUR#1 : C’est la médecine qu’il faut louer, ma chère !
DANSEUR#2 : Oui mais Norbert la maîtrise comme personne ?
DANSEUR#3 : Allez ouvrez donc se plie qu’on en finisse !
Le docteur ouvre et lis puis se prend la tête dans les mains.
LE MEDECIN NORBERT : Mathilde non ! Le scélérat !
Le Médecin sort en courant. Les danseurs sont déconcertés. Les acteurs disposés en U réagissent.
Le public en U (au fond) : Il est parti comme un dément !
Le public en U (à jardin) : Nous sommes condamnés sans lui !
Le public en U (à cour) : La peste emportera Venise !
DANSEUSE#4 (ramasse la lettre, la lit puis, s’écrit) : Grand dieu c’est une demande de rançon !
Les acteurs disposés en U réagissent.
Le public en U (au fond) : Vous avez entendu ?!
Le public en U (à jardin) : Un cri strident vient de déchirer l’air !
Le public en U (à cour) : C’est la Venise des heures rouges qui s’en vient !
La justice des Doges
(Venise Scène 2)
Inspirée de l’expression écrite des CM2.
NARRATEUR#1 : On appris peu après qu’un meurtre fût commis.
NARRATEUR#2 : Pour couvrir son geste le médecin de la Peste.
NARRATEUR #3: Fît accuser un homme dont la réputation...
NARRATEUR #4: De commerçant prodige aiguisaient les rancoeurs.
Les acteurs disposés en U jouent les spectateurs du Tribunal des Doges.
Le public en U (au fond) : Que valent les mots d’un innocents...
Le public en U (à jardin) : Contre la peur de la maladie...
Le public en U (à cour) : Envahissant chaque ruelle...
Le public en U (tous) : Et décimant tous les foyers !
Entrent les deux Doges de Venise qui s’installent au centre de la Scène.
JUGE#1&2 : Faites entrer l’accusé
Pantalone entre pieds et mains entravées par des chaines soutenus par deux policiers.
L’AVOCAT (en aparté à Pantalone) : Laissez-moi leur parler et vous ressortez libre !
JUGE#2 (à Pantalone) : Nom et prénoms !
PANTALONE (voûté) : Pantalone Beaupré !
JUGE#1 : Tenez-vous droit devant les Doges.
L’AVOCAT (à la cantonade) : Messieurs les juges...
PANTALONE (menton levé) : Je suis innocent !
Les acteurs disposés en U jouant les spectateurs du Tribunal des Doges réagissent en Brouhaha.
JUGE#1&2 : Silence !
Les Juges font un geste vers l’Avocat.
L’AVOCAT (à la cantonade) : Mon client est un honnête homme…
Les Juges arrête l’avocat d’un geste.
JUGE#1 : Par les pouvoirs qui nous sont conférés, nous, les Doges de Venise.
JUGE#2 : Le déclarons Pantalone Beaupré : COUPABLE !
Pantalone baisse la tête.
Les deux policiers le fond sortir tandis que les deux Juges se serrent la mains.
Ils quittent la scène dans un Brouhahaha indescriptible.
Le public en U (au fond) : S’en est fini du Marchand Intrépide !
Le public en U (à jardin) : Demain dès l’aube il pendra au gibet !
Le public en U (à cour) : Venise goûte mal les succès insolents !
Sélina, Margaux, Elisa et Anouchka
La mystérieuse aventure en Amazonie
J'avais la mission de ramener des échantillons de la faune et de la flore locale d'Amazonie à Louis XVI. Je découvrais cette forêt immense en dirigeable. La vue était splendide de là-haut.... Mais, brusquement, le temps changea et je me retrouvais en pleine tempête. Les éclairs et la pluie m'aveuglaient. Soudain, la foudre me frappa et le dirigeable explosa ! Je tombai dans le confluent, là où se mélange l'eau boueuse et l'eau noir. Je nageais pour me sauver des piranhas, quand soudain, Tarzan vint à ma rescousse. Il me déposa sur l'île de Marajo. Pour le remercier, je l'aidais à construire une barque volante, faite de bambous d'écorces et de lianes. Nous allâmes sur la canopée pour la faire décoller en suivant le sens du vent. Nous observions ces animaux magnifiques : des aras Macao, des singes hurleurs des paresseux et des léopards... Je compris l'importance et la fragilité de de ces arbres, ces colosses aux pieds d'argile. En effet, leurs racines tentaculaires sont à la surface du sol. La moindre tempête, les déstabilisent.
Puis je pouvais enfin repartir en France, car j'avais rempli ma mission.
- J'avais l'impression d'y être ! Mais avez-vous apporté un cadeau au roi ?
Oui, un ara Macao capable de le flatter.
Comment avez-vous pu voyager en dirigeable ? Ils n'existaient pas encore...
C'est peut-être mon imagination...
Clément, Ethan G, Baptiste, Romain
Mission Amazonie
Enfin arrivé au-dessus du delta de l'Amazone, un orage s’abattit sur le dirigeable. Je fus expulsé de l'engin. Par chance, un nénuphar amortissait ma chute.
Je regagnais le rivage à la nage et tombai sur une petite clairière. Là-bas, je trouvai un amérindien qui m'accueillit chaleureusement.
Le jour suivant, je lui expliquai que je recherchais un perroquet de Monaco qui se nommait Piaf.
Il me montra le plan d'une barque volante et m'aida à la mettre sur pied. Il me conduisait ensuite sur sa plate-forme de décollage. Grâce à son explication, je parvins à m'envoler. Je regagnais le confluent en surfant la rivière volante.
Je dus survivre plusieurs jours dans la forêt avant de trouver ce satané Piaf. Malheureusement, quand je le trouvai mes réserves de nourriture étaient épuisées. Je marchais plusieurs jours, avant de me retrouver dans un village d'amérindiens. Ils m’accueillaient à bras ouverts et ils me donnèrent à manger… Je pus repartir ensuite le ventre plein.
- Mais polichinelle, les dirigeables n’existaient pas. Comment as-tu fait ?
- Peut-être que ma mémoire et mon imagination m’ont joué des tours...
Anieal, Maëva, Nour et Julia
Aventure en Amazonie
Monsieur Polichinelle, je vous confie une mission qui consiste à aller en Amazonie pour me ramener le Ara aux œufs d’or. Je compte sur vous !
De la part de LOUIS XVI, votre Sir.
Alors quelques jours plus tard, je partis en dirigeable. J’étais tranquille jusqu’au moment où je sentis l’odeur de brûlée. Soudain, l’engin se cracha ! Je tombais dans l’eau quand des piranhas vinrent m’attaquer. Je me débattais et je finis par sortir vainqueur de la bataille. Je souffrais beaucoup des morsures, puis je m’évanouis. Le lendemain, je me réveillai dans une cabane en bois au milieu de la forêt. Des Amérindiens me surprirent. Nous fîmes connaissance et ils m’expliquèrent qu’ils créaient une barque volante pour surfer sur la rivière volante. Ils me proposèrent de la terminer ensemble. J’acceptais avec joie ! Une fois le bricolage fini, nous décollâmes d'une plate-forme aménagée dans la canopée. De là-haut, la vue était magnifique. Nous redescendîmes après quelques heures passées dans le ciel.
Ils me montrèrent l’endroit où le Ara aux œufs d’or se cachait. Ils allèrent le récupérer. Je les remerciais du fond du cœur ! Nous partagions ensuite un festin royal !
- Waw ! J’ai adoré cette histoire fantastique en Amazonie !
Peux-tu m’en raconter une autre s'il-te-plaît ?
- Oui, bien sûr, celle-ci se déroule dans les chutes du Niagara...
Gabriel A et C, Florian et Léonard
Aventure en Amazonie
J’étais en dirigeable pour trouver le plus beau perroquet de l’Amazonie pour Louis XVI. Je traversais une tempête quand un éclair enflamma mon dirigeable. Par chance, j’atterris sur deux nénuphars géants, mais des piranhas commençaient à m’attaquer. Je nageais rapidement pour rejoindre la rive avant qu’ils ne me croquent. Je voyais au loin un village. Pour la fête du village, un tournoi de lutte était organisé où les hommes se battaient contre les femmes. Ils me proposèrent d’y participer. Je refusais, car j’avais des choses plus importantes à faire. Je leur expliquais ma mission. Ils me dirent un secret qu’eux seuls connaissaient : le bois amazonien pouvait voler. Je profitais de cette information pour construire, avec eux, une barque volante. Je l’essayais. Tout allait bien, sauf qu’elle perdait l'équilibre à l’atterrissage. Je me rappelais que les nénuphars m’avaient très bien porté pendant mon atterrissage forcé. J’en attachais donc à ma barque et je la testais tout de suite. Malheureusement, j’allais trop haut et fut emporté par la rivière volante vers le confluent, là où les eaux noires et les eaux boueuses se mélangent... J’essayais de perdre de l’altitude pour atterrir sans encombre grâce à mes nénuphars magiques sur ce lieu magique. J’imaginais être encore très loin de la source, vu la force du courant.
Je regagnais la rive. Et là, juste devant moi, le futur ara de Louis XVI, qui m'attendait. Vite, je l'attrapais. Je me dis que Louis XVI allait être très content.
- Mais dis-moi, Polichinelle, il n’y avait pas encore de dirigeables à cette époque ?
- Et bien vois-tu, ce fut après ma mission que les plans du dirigeable furent publiés, mais, la vraie invention du dirigeable fut bien avant, j'en suis l'auteur.
- Ah, c’est donc pour ça ! Merci pour l’explication ! J’ai hâte que tu me racontes une autre de tes aventures !
Jaelyn et Julie
Tout a commencé en 1790. Le roi Louis XVI voulait un Ara Macao d'Amazonie.
Je m'approchais de l'embouchure en dirigeable. Tout à coup une tempête arriva.
Je me crachais sur un nénuphar géant qui heureusement amortissait ma chute.
Mais, des piranhas commencèrent à m'attaquer, je cherchais à regagner la terre ferme en prenant appui sur les nénuphars. La nuit commençait à tomber quand soudain je vis un village.
Je rencontrais les amérindiens et leur supplia de m'aider à trouver un Ara Macao.
Nous trouvâmes du bois, des lianes et des feuilles pour construire une cage pour l'oiseau.
Ils m'emmenèrent dans la canopée, là où vivent les aras Macao.... J'étais heureux d'avoir réussi ma mission.
Louis XVI me remercia vivement.
Eythan Ethan Corentin Arry
En 1790, j'étais en dirigeable quand soudain une tempête terrassait l'engin.
Je me retrouvais dans un lac au milieu de nénuphars géants. Louis XVI m'avait donné une mission : trouver un oiseau qui pond des œufs en or massif.
En nageant, des piranhas m'attaquèrent. Heureusement, des nénuphars me sauvèrent. Je rencontrais des amérindiens qui me proposèrent l'hospitalité.
Après une bonne nuit de sommeil, je repartis chercher le volatile. Je construisais une barque volante avec du bois, des feuilles et des lianes. Puis, je décollais du haut d'une colline en direction de la rivière volante. En surfant sur les nuages, je vis l'oiseau de mes rêves dans la canopée. Avec un filet, je l'attrapais. J'étais fou de joie.
Tu as vraiment vécu une super aventure !
Pourrais-tu m'en raconter une autre !
Oui. Elle se passera dans les chutes du Niagara.
Adam, Sacha, Eliott et Maël
Mésaventure en Amazonie
Bonjour Polichinelle, votre mission est de me ramener une surprise...
Ma mission venait de commencer, quand j'étais en dirigeable. Soudain, un coup de tonnerre frappa et enflamma l'engin. Je tombai sur un nénuphar colossal qui amortit ma chute. Arrivé dans la forêt, je vis un léopard affamé, il me courut après. Pour l'éviter, je m'accrochai à une liane. J'aperçus au loin un village. J'y entrai et je vis des amérindiens en plein combat de chefs. Les femmes s'affrontaient aux hommes avec bravoure. Soudain, une panthère m'attaqua. Je poussais un cri de frayeur qui attira l'attention des deux tributs. Ils me sauvèrent. En souvenir de cette réconciliation, ils m'offrirent un collier de fourrure de tigre et de dents de piranhas.
- Ton aventure était incroyable !
- Veux-tu que je te raconte mon aventure dans les chutes du Niagara ?
FIN