Imagine un titre pour chaque tableau, explique s'il te fait penser à l'Espagne et ce que tu ressens en le voyant. Ignacio Zuloaga y Zabaleta, Portrait de Maurice Barrès devant Tolède, 1913
Si vous avez le temps pendant les vacances, je vous recommande cette exposition, nous travaillerons en classe ces tableaux.
L'atelier n'est pas ouvert pour les scolaires, n'hésitez pas à y participer.
ateliers pour enfants, Lumières de l'Espagne, 7€ 01 44 77 81 11
Ouverture : tous les jours sauf mardi et le 25 décembre de 9h à 18h
L'Espagne entre deux siècles
L’exposition « L’Espagne entre deux siècles : De Zuloaga à Picasso « , actuellement au musée de l’Orangerie, revisite la période charnière et pourtant méconnue de la peinture espagnole entre le XIXe et le XXe.
Entre la mort de Goya en 1828 et Picasso, n’y avait-il aucun peintre qui valait le détour ? Si peu d’expositions ont traité du XIXe siècle espagnol, laissant imaginer un vide béant, une génération de peintres espagnols, a pourtant marqué son temps. Pour sublimer ou montrer une Espagne traversée par une crise économique et une instabilité politique.
C’est à cette époque que des artistes basques et catalans comme Ignacio Zuloaga, Joaquín Sorolla, Ramón Casas, Santiago Rusiñol s’installent à Montmartre, à Paris, pour se former à la nouvelle peinture.
A l’époque, l’attrait parisien pour l’Espagne est tel que cette grappe de jeunes artistes expose dans les salons parisiens. Ils suscitent même l’admiration de certains critiques et peintres français comme Gustave Courbet et Léon Bonnat. Parmi cette génération d’artistes, Zuloaga tire son épingle du jeu. Il est considéré de l’avis de beaucoup comme un avant-gardiste et son originalité est très appréciée.
Les peintres espagnols se lient d’amitié avec des grands noms de la peinture à l’instar de Degas, Toulouse-Lautrec, Gauguin, Émile Bernard. Des relations qui exerceront une influence mutuelle sur les œuvres. Ce dialogue entre les artistes français et les artistes espagnols va contribuer au renouveau des arts dans la péninsule ibérique.
L’exposition témoigne du contraste saisissant entre les toiles symbolisant l’ « Espagne blanche », cette Espagne festive, saine et aspirant à la modernité, et une « Espagne noire », brutale, miséreuse et tragique. Les paysages idylliques et sans nuage de Sorolla ou Casas défient les images de mendiants, de marginaux et autres réalités sociales d’une Espagne en souffrance de Zoloaga ou Solana.
Redécouvrir la richesse artistique de l’Espagne, autrement que par le prisme de Picasso, voilà une ingénieuse idée.
hoy en mi ventana bril el sol y el corazon se pone triste contemplado la ciudad por que te vas
como cada noche desperte pensando en ti y en mi reloj todas las horas vi pasar por que te vas
****REFRAIN**** todas las promesas de mi amor se iran contigo me ol vi daras (x2) junto a la estacion yo llo ra ré y gual que un niño por que te vas (x4)
bajo la penumbra de un farol se dormiran todas las cosas que quedaron por decir se dormiran junto a a las manillas de un reloj esperaran todas las horas que quedaron por vivir esperaran
La Bamba
Para bailar la bamba, Para bailar la bamba, Se necesita una poca de gracia. Una poca de gracia pa mi pa ti. Arriba y arriba Y arriba y arriba, por ti sere, Por ti sere. Por ti sere. Yo no soy marinero. Yo no soy marinero, soy capitan. Soy capitan. Soy capitan. Ba-ba-bamba, Ba-ba-bamba, Ba-ba-bamba, Ba...
Para bailar la bamba, Para bailar la bamba, se necesita una poca de gracia. Una poca de gracia pa mi pa ti. Arriba, arriba. R-r-r-r-r, Ja! Ja!
{Instrumental interlude}
Para bailar la bamba, Para bailar la bamba, Se necesita una poca de gracia. Una poca de gracia pa mi pa ti. Arriba y arriba Y arriba y arriba, por ti sere, Por ti sere. Por ti sere. Ba-ba-bamba. Ba-ba-bamba. Ba-ba-bamba.
Su Cancion
Paseando sola en mi ciudad Yo sentí que un canto me llegaba Me acerqué y pude contemplar A unos niños que cantaban Uno fue y me dijo: « ¡Eh mayor! No quieres incluir tu voz cansada Ya verás que fácil es cantar Si tienes bien alegre el corazón »
Si todo el mundo quisiera una canción Que hable de paz, que hable de amor Sería sencillo podernos reunir Para vivir con ilusión
Quiero que sienta conmigo esta canción Que deje atrás su malhumor Para que salga en la vida a sonreír Y a disfrutar su condición
Canté en su casa a solas mi canción Comprenderá que no hay dolor Cuando se tiene la dichia de vivir Y un corazón que compartir
Cierre los ojos conmigo y diga adiós A esta canción que me enseñó Vivir el hoy, no del ayer Una canción, que es de los dos Es su canción
Je suis né dans le béton Coincé entre deux maisons Sans abri sans domicile Comme un arbre dans la ville
Comme un arbre dans la ville J'ai grandi loin des futaies Où mes frères des forêts Ont fondé une famille Comme un arbre dans la ville
Entre béton et bitume Pour pousser je me débats Mais mes branches volent bas Si près des autos qui fument Entre béton et bitume
Comme un arbre dans la ville J'ai la fumée des usines Pour prison, et mes racines On les recouvre de grilles Comme un arbre dans la ville
Comme un arbre dans la ville J'ai des chansons sur mes feuilles Qui s'envoleront sous l'œil De vos fenêtres serviles Comme un arbre dans la ville
Entre béton et bitume On m'arrachera des rues Pour bâtir où j'ai vécu Des parkings d'honneur posthume Entre béton et bitume
Comme un arbre dans la ville Ami, fais après ma mort Barricades de mon corps Et du feu de mes brindilles Comme un arbre dans la ville
Aux Arbres Citoyens
de Yannick Noah
Le ciment dans les plaines Coule jusqu'aux montagnes Poison dans les fontaines, Dans nos campagnes
De cyclones en rafales Notre histoire prend l'eau Reste notre idéal "Faire les beaux"
S'acheter de l'air en barre Remplir la balance : Quelques pétrodollars Contre l'existence
De l'équateur aux pôles, Ce poids sur nos épaules De squatters éphémères... Maintenant c'est plus drôle
Puisqu'il faut changer les choses Aux arbres citoyens ! Il est grand temps qu'on propose Un monde pour demain !
Aux arbres citoyens Quelques baffes à prendre La veille est pour demain Des baffes à rendre
Faire tenir debout Une armée de roseaux Plus personne à genoux Fait passer le mot
C'est vrai la terre est ronde Mais qui viendra nous dire Qu'elle l'est pour tout le monde... Et les autres à venir...
Puisqu'il faut changer les choses Aux arbres citoyens ! Il est grand temps qu'on propose Un monde pour demain !
Puisqu'il faut changer les choses Aux arbres citoyens ! Il est grand temps qu'on s'oppose Un monde pour demain !
Plus le temps de savoir à qui la faute De compter la chance ou les autres Maintenant on se bat Avec toi moi j'y crois
Puisqu'il faut changer les choses Aux arbres citoyens ! Il est grand temps qu'on propose Un monde pour demain !
le verger du roi Louis
Tableaux de Van-Gogh XIX°
Sur ses larges bras étendus, La forêt où s'éveille Flore, A des chapelets de pendus Que le matin caresse et dore. Ce bois sombre, où le chêne arbore Des grappes de fruits inouïs Même chez le Turc et le More, C'est le verger du roi Louis.
Tous ces pauvres gens morfondus, Roulant des pensées qu'on ignore, Dans des tourbillons éperdus Voltigent, palpitants encore. Le soleil levant les dévore. Regardez-les, cieux éblouis, Danser dans les feux de l'aurore. C'est le verger du roi Louis.
Ces pendus, du diable entendus, Appellent des pendus encore. Tandis qu'aux cieux, d'azur tendus, Où semble luire un météore, La rosée en l'air s'évapore, Un essaim d'oiseaux réjouis Par-dessus leur tête picore. C'est le verger du roi Louis.
Prince, il est un bois que décore Un tas de pendus enfouis Dans le doux feuillage sonore. C'est le verger du toi Louis !
Auprès de mon arbre
Georges Brassens
J'ai plaqué mon chêne Comme un saligaud Mon copain le chêne Mon alter ego On était du même bois Un peu rustique un peu brut Dont on fait n'importe quoi Sauf naturell'ment les flûtes J'ai maint'nant des frênes Des arbres de judée Tous de bonne graine De haute futaie Mais toi, tu manques à l'appel Ma vieille branche de campagne Mon seul arbre de Noël Mon mât de cocagne
Auprès de mon arbre Je vivais heureux J'aurais jamais dû M'éloigner d' mon arbre Auprès de mon arbre Je vivais heureux J'aurais jamais dû Le quitter des yeux
Je suis un pauvr' type J'aurais plus de joie J'ai jeté ma pipe Ma vieill' pipe en bois Qu'avait fumé sans s' fâcher Sans jamais m'brûler la lippe L'tabac d'la vache enragée Dans sa bonn' vieill' têt' de pipe J'ai des pip's d'écume Ornées de fleurons De ces pip's qu'on fume En levant le front Mais j'retrouv'rai plus ma foi Dans mon coeur ni sur ma lippe Le goût d'ma vieill' pipe en bois Sacré nom d'un' pipe
Auprès de mon arbre Je vivais heureux J'aurais jamais dû M'éloigner d' mon arbre Auprès de mon arbre Je vivais heureux J'aurais jamais dû Le quitter des yeux
Le surnom d'infâme Me va comme un gant D'avecques ma femme J'ai foutu le camp Parc' que depuis tant d'années C'était pas un' sinécure De lui voir tout l'temps le nez Au milieu de la figure Je bas la campagne Pour dénicher la Nouvelle compagne Valant celles-là Qui, bien sûr, laissait beaucoup Trop de pierr's dans les lentilles Mais se pendait à mon cou Quand j'perdais mes billes
Auprès de mon arbre Je vivais heureux J'aurais jamais dû M'éloigner d' mon arbre Auprès de mon arbre Je vivais heureux J'aurais jamais dû Le quitter des yeux
Le grand chêne
Il vivait en dehors des chemins forestiers, Ce n'était nullement un arbre de métier, Il n'avait jamais vu l'ombre d'un bûcheron, Ce grand chêne fier sur son tronc.
Il eût connu des jours filés d'or et de soie Sans ses proches voisins, les pires gens qui soient ; Des roseaux mal pensant, pas même des bambous, S'amusant à le mettre à bout.
Du matin jusqu'au soir ces petit rejetons, Tout juste cann' à pêch', à peine mirlitons, Lui tournant tout autour chantaient, in extenso, L'histoire du chêne et du roseau.
Et, bien qu'il fût en bois, les chênes, c'est courant, La fable ne le laissait pas indifférent. Il advint que lassé d'être en but aux lazzi, Il se résolu à l'exi(l).
A grand-peine il sortit ses grands pieds de son trou Et partit sans se retourner ni peu ni prou. Mais, moi qui l'ai connu, je sais qu'il en souffrit De quitter l'ingrate patrie.
A l'orée des forêts, le chêne ténébreux A lié connaissance avec deux amoureux. " Grand chêne laisse-nous sur toi graver nos noms... " Le grand chêne n'as pas dit non.
Quand ils eur'nt épuisé leur grand sac de baisers, Quand, de tant s'embrasser, leurs becs furent usés, Ils ouïrent alors, en retenant des pleurs, Le chêne contant ses malheurs.
" Grand chên', viens chez nous, tu trouveras la paix, Nos roseaux savent vivre et n'ont aucun toupet, Tu feras dans nos murs un aimable séjour, Arrosé quatre fois par jour. "
Cela dit, tous les trois se mettent en chemin, Chaque amoureux tenant une racine en main. Comme il semblait content ! Comme il semblait heureux ! Le chêne entre ses amoureux.
Au pied de leur chaumière, ils le firent planter. Ce fut alors qu'il commença de déchanter Car, en fait d'arrosage, il n'eut rien que la pluie, Des chiens levant la patt' sur lui.
On a pris tous ses glands pour nourrir les cochons, Avec sa belle écorce on a fait des bouchons, Chaque fois qu'un arrêt de mort était rendu, C'est lui qui héritait du pendu.
Puis ces mauvaises gens, vandales accomplis, Le coupèrent en quatre et s'en firent un lit, Et l'horrible mégère ayant des tas d'amants, Il vieillit prématurément.
Un triste jour, enfin, ce couple sans aveu Le passa par la hache et le mit dans le feu. Comme du bois de caisse, amère destinée ! Il périt dans la cheminée.
Le curé de chez nous, petit saint besogneux, Doute que sa fumée s'élève jusqu'à Dieu. Qu'est-c'qu'il en sait, le bougre, et qui donc lui a dit Qu'y a pas de chêne en paradis ? Qu'y a pas de chêne en paradis ?
Paroles: Georges Brassens
Les Champs Elysées en français
Je m'baladais sur l'avenue Le coeur ouvert à l'inconnu J'avais envie de dire bonjour À n'importe qui N'importe qui ce fut toi Je t'ai dit n'importe quoi Il suffisait de te parler Pour t'apprivoiser
Aux Champs-Élysées Aux Champs-Élysées Au soleil, sous la pluie À midi ou à minuit Il y a tout ce que vous voulez Aux Champs-Élysées
Tu m'as dit "J'ai rendez-vous Dans un sous-sol avec des fous Qui vivent la guitare à la main Du soir au matin" Alors je t'ai accompagnée On a chanté, on a dansé Et l'on n'a même pas pensé À s'embrasser
Aux Champs-Élysées Aux Champs-Élysées Au soleil, sous la pluie À midi ou à minuit Il y a tout ce que vous voulez Aux Champs-Élysées
Hier soir deux inconnus Et ce matin sur l'avenue Deux amoureux tout étourdis Par la longue nuit Et de l'Étoile à la Concorde Un orchestre à mille cordes Tous les oiseaux du point du jour Chantent l'amour
« Dans un projet de partenaires européens apprenons, grandissons ensemble, et partageons une future amitié pour devenir des citoyens européens actifs »
Nous nous fixons les objectifs suivants :
·Développer le sens des responsabilités pour soi-même et la collectivité.
·Développer une aptitude à participer de manière constructive à la vie de la collectivité.
·Promouvoir le sens de la solidarité et de l’éco citoyenneté
Les domaines d’apprentissages se situeront de manière transversale au travers :
Des savoirs être
·afin de développer : l’estime de soi, le respect des autres, le respect de l’environnement, son autonomie, le sens de la solidarité et des responsabilités.
Des savoirs faire
·Education civique :
·étude de l'influence de la France dans la construction européenne et des pères de l'Europe
·étude de la V° République
·étude de la Constitution française et réalisation d'affiches permettant aux élèves et enseignants des autres pays partenaires de la comprendre.
·Comparaison des différences entre les Constitutions entre les pays du parteneriat.
·élection des délégués de classe et du conseil municipal.
·Sciences :
·étude de la forêt et de sonécosystème,
·réalisation d'un herbier,
·réalisation de fiches sur les animaux, les plantes et les insectes.
·Français, littératureau travers de romans et d’histoiresoù on retrouvera les valeurs suivantes : le respect de soi, des autres, de l’environnement, le sens de la responsabilité collective et individuelle et de la solidarité. Nous travaillerons spécialement sur le thème de :
·l'amitié : la Mouette et le chat de Luis Sepulveda , le petit chaperon en Ut, Otto, L'Agneau qui ne voulait pas être un mouton, Ami-ami …)
·la forêt (maléfique, naturelle, initiatique ou vivante) :
·lecture de romans ( l'Homme qui plantait des arbres de Giono, Tistou et les pouces verts de Druon, Mon Bel oranger de Vasconcelos, L'Arbre aux souhaits de Faulkner, Les Vacances de la Comtesse de Ségur, Tobie Lolness de Th de Fombelle, Enfant de la jungle de Morpurgo, Robin des bois de Dubois, Le Livre de la jungle de Kipling, 2 graines de cacao de Brisou, Forêt, racines et labyrinthes de Calvino, Voyage au pays des arbresde Le Clézio, Le Baron perché de Calvino ...)
·lecture de contes ( Blancheneige, Hansel et Gretel, La Belle au bois dormant, Le Petit Poucet, L'arbre généreux, …)
·lecture de documentaires (sur les différents types de forêts, sur la faune et la flore).
L'expression écrite :
·rédaction de fiches documentaires sur la thème de la forêt,
·rédaction de fiches sur des jeux théâtraux qui serviront pour les ateliers avec les espagnols,
·rédaction de leur fiche d'identité pour leur correspondantsespagnols,
·rédaction de saynètes sur le thème de l'amitié qui seront jouées devant d'autres classes et les parents.
La lecture à voix haute de l'album humoristique « The hairy monster » des CM2 A de l'an passé et de différents contes et textes documentaires.
·L’art visuel
·sur le thème de la forêt:
·Dessins d'observation de feuilles, d'animaux et d'insectes
·technique mixte dessin d'un paysage à la craie grasse et découpage d'un arbre,
·travail avec une artiste peintre dans le cadre d'un PAC
Le projet est en cours...
Découverte de peintres européens –
· anciens : Rubens, Rembrandt, Delacroix, Courbet, Carrache et Corot (étude de l'arbre – dessin d'observation)
· nouveaux : Cézanne, Monet, Mondrian, Turner, van Gogh et Pénone.
Etude de leurs oeuvres et de leur époque (style de peinture).
·sur le thème de la citoyenneté: illustration des saynètes sur l'amitié, des poésies sur les portraits et des jeux théâtraux.
·Sur le thème de l'Espagne : étude des peintres espagnols entre les deux siècles (fin XIX° et début du XX° siècle) – l’ « Espagne blanche » et l' « Espagne noire »d'après l'exposition à l'Orangerie.
·L’histoire (histoire de laconstruction de l'Europe) et la géographie (les différents pays européens).
·Les chansons :
·Hymnes nationaux de nos pays partenaires
·Chansons traditionnelles de nos pays partenaires
·Por que te vas de Perales
·Amor de mis amores de Cabra
·La Bamba à notre mode (création des paroles)
·Su Cancion
·Douce France de Charles Trénet
·Paris s'éveille de Lanzmann et Dutronc
·Aux arbres citoyens de Yannick Noah
·Auprès de mon arbre de Brassens
·Le grand Chêne de Brassens
·Le verger du roi Louis de Brassens
·Comme un arbre de Maxime Leforestier
·Aux champs Elysées
·l'écoute musicale :
·Le grand Danube bleu de Strauss
·Les Quatre Saisons de Vivaldi
·La Symphonie pastorale n°6 de Beethoveen
·Anglais : traduire ses fiches individuelles pour les correspondants espagnols.
·Espagnol : apprendre le vocabulaire de base et apprendre des chants pour préparer l'accueil des espagnols et le voyage en Espagne.
·Danse : préparation d'un spectacle pour les espagnols.
Travail de coordination, du rythme et d'une chorégraphie.